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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 07:27
 
Gwyneth Paltrow, Kerry Washington et Amanda Seyfried désignées plus belles femmes du monde
Publié le 26 avril 2013, 14h51 par La rédaction

 

Le classement annuel de People désigne Gwyneth Paltrow plus belle femme du monde. Derrière elle, quelques surprises, comme Jane Fonda, 75 ans.

 

C'est un classement qui réserve quelques surprises, mais toutes les célébrités qui apparaissant dans le classement "People" des plus belles femmes du monde sont magnifiques. La grande gagnante, selon le classement du magazine américain, s'appelle Gwyneth Paltrow. L'actrice, désignée il y a quelques jours seulement "star la plus détestée d'Hollywood" par "Star Magazine", prend la plus belle des revanches. Il s'agit en tout cas d'une bonne nouvelle à l'heure où la comédienne est à l'affiche d'Iron Man 3, le grand blockbuster de l'année. /.../

 

 

 

 

 

                           Cet extrait de   L'Internaute  met l'accent sur l'ambivalence de cette actrice :  Adulée et détestée, portée au pinacle et haïe, exposée comme objet de désir et d'envie, elle pourrait occuper le rôle de la reine tel que le décrit René Girard dans  "La violence et le sacré" (1).

 

 

                        Elle est tout d'abord "différente" (C'est une blonde !!) et sa différence ne peut être ni niée ni dissimulée, tellement visible que nul ne peut l'ignorer; cette visibilité se trouve exacerbée par son exposition universelle, répétée à l'infini par le jeu de miroirs d'internet et des médias.

 

 

                        Elle est aussi l'objet de tous les désirs, et donc corollairement, de toutes les envies et de toutes les haines ("Star la plus détestée ...").

 

                         Elle réunit en fait les attributs principaux des  victimes de persécutions : Différente par essence , haïssable et enviable à l'excès, rivale de toutes les femmes, exposée à tous les regards (2), adepte de conduites bizarres (Elle serait semi-végétarienne !!)...

 

 

                                Son élection pourrait passer pour  "la revanche d'une blonde"; c'est plutôt la mise en scéne planétaire d'une femme aux caractéristiques physiques peu communes, adorée et détestée à la fois,  pouvant catalyser sur son image  les immenses tensions de sociétés violentes.  Et il y a fort à parier que si cela arrive, cela ne tombera pas sur la star elle-même, protégée par de hauts murs et une armée de gardes du corps, mais sur d'autres femmes de substitution lui ressemblant, plus vulnérables et plus accessibles.

 

                        Il n'est pas question ici de complot, ou de dénoncer une volonté délibérée de nuire ; je dis simplement que nos sociétés sont animées d'une violence archaîque, recherchant sans cesse de nouveaux boucs émissaires;  que ces futures victimes sont repérables, partout et toujours, par les mêmes signaux; et que, comme le dirait Anatole France,  "Les dieux ont soif", aujourd'hui comme hier. 

 

 

 

 

         Sarah Logan, violemment agressée par la foule , Place Tahrir, Le Caire en 2011

 

 

 

(1) Présentation générale de la théorie mimétique de R. Girard    link                                

 

 (2) J'emploie "exposer", à dessein, car ce terme garde  même de nos jours un caractére menaçant, au point d'être synonyme de "mettre en péril" ; quand un individu est mis à l'écart du groupe, il devient vulnérable à tous les dangers, y compris ceux venant du groupe,  il perd l'abri de l'anonymat et peut être amené à rencontrer un destin tragique .  A Rome ou en Grèce, un enfant exposé est un enfant qui perd la protection de sa famille et de la société, condamné à une mort ignominieuse, abandonné de tous,  destiné à être dévoré vivant par des bêtes sauvages  .

 

 

 

 

 

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 08:32
                Trouvé dans la presse déchaînée un très bel exemple d'amorçage, qui réactive le stéréotype négatif de la blonde tout en l'assaisonnant de remarques pseudo-féministes pour se donner le genre qui va bien.
                Citation des convictions affichées : "Ce que ce sondage révèle, c'est qu'à notre époque, les stéréotypes et les clichés sur les femmes sont malheureusement toujours d'actualité. A quoi bon demander une égalité des salaires, quand une qualité chez une femme est considérée comme liée à sa couleur de cheveux."

                Ces deux phrases revendiquent des convictions fortes en faveur des femmes, il s'agit de la conclusion de l'article que peu de lecteurs liront en définitive. Indiscutablement, elles se situent dans le camp du bien et constituent ce que les anciens grecs honoraient comme des "lieux communs", pivots de la démonstration, indispensables au raisonnement.


 

                 Mais...

 

 

ce qui marquera les esprits, et il s'agit là d'un pari très peu risqué de notre part, c'est le gros titre qui associe blondeur et handicap, ainsi que la toute derniére phrase : " Mesdames, si vous êtes blondes et célibataires, il est toujours temps de foncer chez le coiffeur."

 

 

 

 

               Dans tous les cas de figure, le lecteur sera amené à enregistrer une fois de plus que la blondeur est un critére négatif et qu'il est souhaitable de le cacher, sinon de le faire disparaître pour le bien de tous, et spécialement pour le propre bien des blondes.

 

 


 

Être blonde, un nouvel handicap pour se marier ?

Le 26/03/2013 à 11:17 -

Réagissez !

Pour les hommes, bien choisir la femme de sa vie serait synonyme de bien choisir sa couleur de cheveux.

Quels sont les préjugés véhiculés par les brunes et par les blondes ? Planet.fr fait le point.
 

D'après un sondage de Superdrug, être blonde ne serait pas un atout pour se faire mettre la bague au doigt. Sur 1 000 hommes sondés, 54% d'entre eux voudraient épouser une femme brune alors que seulement 16% choisiraient plutôt une blonde. Pour 30%, la couleur des cheveux ne serait pas un critère important pour faire leur choix. En tant que petite amie, 48% choisissent toujours les brunes contre 25% les blondes. Les blondes seraient donc meilleures petites amies qu'épouses mais toujours pas autant que les femmes brunes.

Pour les hommes, les brunes seraient plus profondes, donc moins superficielles. Elles seraient également plus raisonnables et donc capables de mieux gérer leur argent que les blondes. De même, les brunes ont l'air de meilleures cuisinières, meilleures femmes d'intérieur et prennent plus soin de leur apparence. Dernier argument et non pas des moindres, les hommes pensent que les brunes auraient plus d'expérience au lit que les blondes.

Ce que ce sondage révèle, c'est qu'à notre époque, les stéréotypes et les clichés sur les femmes sont malheureusement toujours d'actualité. A quoi bon demander une égalité des salaires, quand une qualité chez une femme est considérée comme liée à sa couleur de cheveux. Mesdames, si vous êtes blondes et célibataires, il est toujours temps de foncer chez le coiffeur.

 

 

 

 

 

                            Rappelons tout de même que cette "étude", qui concernerait à priori 1000 hommes britanniques, n'est jamais sourcée, aucune référence universitaire, méthodologique ou bibliographique. Cette faiblesse constitutive est toutefois contrebalancée par Planet.fr, qui lui apporte tout le poids de sa crédibilité scientifique : En effet, " Planet.fr  fait  le  point". Nous voila donc rassuré.

 

 

                        Mélanie Prévost, si tu nous écoutes, bravo, pour cet article de fond, et qui d'ailleurs, le restera (au fond).  

 

 

 

 

 

 

 

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 13:19

 

                                   Un intéressant articulet  de nos amis belges de 7/7, où se lit la souffrance d'une femme en butte à la haine en raison d'un critére physique. Bien évidemment, la scéne se déroule en Floride, où les tensions raciales sont exacerbées. Etre différente n'a jamais été facile, mais si l'on ajoute ces campagnes mondiales de calomnies raciales contre les blondes,  cela devient très compliqué.

 

 

 

 

 

 

"Être blonde m'a fait sentir la haine des filles"
 

 

Par:
2/04/13 - 15h11
Vanessa Hudgens lors du tournage de "Spring Breakers" © photo news.


Vanessa Hudgens, qui était devenue blonde pour les besoins du film "Spring Breakers", a avoué à Showbiz Spy avoir haï cette couleur de cheveux. C'est lors d'une sortie avec Ashley Benson qu'elle a senti un regard noir sur sa chevelure éclaircie.

"Ashley et moi sommes sorties dans un bar. Je portais ma perruque blonde. J'avais l'impression que de nombreuses filles nous détestaient instantanément. Donc, pour quoi que ce soit, être blonde attire la haine. Je ne suis pas pressée de réitérer l'expérience à nouveau!"

 

 

 

 

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 07:22

 

 

                                     Un intéressant article d'   © Insoliscience.fr  , qui date un peu mais qui illustre les effets persistants des stéréotypes négatifs; les ordures qui ont créé le stéréotype négatif de "la blonde" ont en fait formulé et instauré une pollution culturelle rémanente, instillée  jour aprés jour dans nos esprits, et cela  volens nolens.

 


 

 

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                                                     Pourquoi tant de haine ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Les stéréotypes négatifs vous collent à la peau

© Insoliscience.fr

mardi 19 octobre 2010                                 

Mots clés : influence stéréotype


Une étude a découvert que les stéréotypes négatifs exerçaient un impact prolongé et durable sur ceux qui en étaient les victimes, et dans des situations sans rapport avec l’offense initiale [1].

 

"Des études passées ont montré que les gens ne sont pas bons dans les situations où ils sentent qu’ils sont stéréotypés" dit le chercheur principal, Michael Inzlicht de l’Université de Toronto. "Ce que nous voulions savoir c’était de voir ce qui se passait après. Y a-t-il un effet rampant des effets du préjudice ? Est-ce que le stéréotype a un impact bien au-delà du moment où il est apparu ?"

 

Inzlicht et ses collègues sont allés plus loin que les études habituelles qui examinent les effets de la discrimination sur des sujets réalisant une tâche directement en rapport avec leurs aptitudes cognitives. Ils ont aussi observé l’impact des expériences des stéréotypes négatifs sur les sujets qui devaient ensuite faire face à des tâches neutres, ces tâches qui exigent la capacité de contrôler ses penses et ses émotions.

 

 

"Même après qu’une personne quitte une situation où elle a dû faire face à des stéréotypes négatifs, les effets de lutte contre cette situation demeurent" dit Inzlicht. "Les gens sont plus susceptibles d’être agressifs après qu’ils aient vécu un préjudice dans une situation donnée. Ils sont plus susceptibles de manquer de contrôle de soi. Ils ont du mal à prendre de bonnes décisions rationnelles. Et ils seront plus enclins à s’autoriser des aliments mauvais à la santé."

 

Les femmes et les maths

Premièrement, les chercheurs ont demandé à des participantes de faire un test de mathématiques qui déterminerait si elles étaient "capables ou douées en maths", comme leur ont dit les scientifiques. Les instructions impliquaient que les chercheurs fassent subrepticement passer des stéréotypes à des femmes sur leurs aptitudes en maths. Au contraire, dans un groupe de contrôle, les chercheurs ont donné le même test à des femmes tout en étant motivants et en leur donnant des stratégies pour gérer le stress qu’elles pourraient lors de l’examen.

Après le test, les femmes ont complété des tests pour mesurer leurs impulsions alimentaires et leur agressivité.

On a demandé aux participantes de décrire une saveur de crème glacée après avoir goûté autant d’échantillons que nécessaire, alors que, selon les chercheurs, trois cuillères au total étaient considérées comme suffisantes. Un autre test demandait aux sujets de jouer à un jeu sur ordinateur qui leur permettait de tirer sur quelqu’un d’autre, de provoquer des explosions autant qu’ils le voudraient.

 

"Dans ces tests suivants, les femmes qui se sentaient discriminées ont plus mangé que leur paires du groupe contrôle" dit Inzlicht. "Elles ont montré plus d’hostilité que le groupe de contrôle. Et elles ont été moins bonnes dans les tests qui ont mesuré leurs aptitudes cognitives."

Les effets étaient particulièrement prononcés chez les femmes qui étaient exposées à des stéréotypes négatifs attribués à leur groupe.

 

Les effets du stéréotype


Les résultats de l’étude ont montré que les stéréotypes avaient des effets négatifs, même chez les individus qui quittaient l’environnement dans lequel ils avaient affronté le stéréotype.

"Ce que nous avons appris, c’est que vous avez une aptitude limitée à vous contrôler vous-même en général" dit le chercheur. "Si vous avez besoin de cette aptitude de vous contrôler pendant le test des maths, vous êtes distrait, vous commencez à faire appel à votre mémoire, vous commencez à supprimer les émotions, vous commencez à éliminer les pensées."

 

"Puis, quand vous en revenez à une situation neutre, si cela exige aussi que vous contrôliez vos pensées et émotions, comme vous les aurez contrôlées avant, vous aurez moins à vous consacrer à la situation présente."

Dans une des tâches, des femmes amorcées par un stéréotype, avaient l’activité de leur cerveau qui montrait des preuves d’un traitement inefficace, comme si elles étaient "occupées à toutes sortes d’épreuves, et non pas seulement à celles dans lesquelles elles feraient une erreur". La tâche a testé la cible en demandant aux participants de donner la couleur d’un mot en regardant sur un écran le mot écrit dans différentes couleurs.

 

Même les souvenirs d’expériences passées peuvent avoir cet effet secondaire, selon les chercheurs. Quand on demande à des participants de se souvenir et d’écrire à propos d’une expérience vécue où ils ont été victimes d’un préjudice à cause de leur identité sociale, ceux-ci font les jugements les plus mauvais dans un test de logique donné juste après.

 

"Si les individus essayent de ne pas considérer les choses personnellement, ils pourraient ne pas ressentir les effets que nous avons décrits" termine le chercheur.

 

Notes

[1] Stereotype threat spillover : How coping with threats to social identity affects aggression, eating, decision making, and attention. Michael Inzlicht et Sonia Kang. Journal of Personality and Social Psychology, 2010.

 

 

 

 

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 08:35

                             Voici donc un article du journal de référence bien connu, le Midi Libre, qui reprend comme bien d'autres médias une "étude" commanditée par une société britannique spécialisée dans la vente de produits de  beauté, dont les produits capillaires.

 

                              L'étude indique que 54 % des  hommes, britanniques à priori,  choisiraient une brune comme épouse, si le choix leur en était donné, alors que 16 %  pencheraient pour les blondes. D'autre part, cette étude indiquent également que les hommes interrogés pensent en majorité que les brunes ont davantage de qualités ménagéres que les autres femmes. En l'espéce, il ne s'agit donc pas des qualités  réelles de tel ou tel groupe féminin, mais d'opinions déclarées par un groupe sur un autre.  Pourtant, le gros titre du Midi Libre devient  " Les brunes seraient de meilleures épouses". Le comparatif : "que les blondes" est astucieusement laissé inexprimé, laissé dans le virtuel, mais il est à n'en pas douter automatique dans l'esprit de la plupart des lecteurs de ce genre de publication. Ce procédé subliminal est particuliérement apprécié des publicitaires, qui savent qu'une marque évoquée subtilement, voire virtuellement,  est plus efficace que la même matraquée outrageusement. Le message échappe alors au rejet et passe en dessous de la "ligne de flottaison" du cerveau .  . En plus d'être d'une redoutable efficacité, cette propagande utilise un glissement de sens particuliérement malhonnête, qui  provoque  sans laisser de traces l'amorçage du stéréotype négatif de la blonde, femme mauvaise et stupide, à éviter de toutes les façons. 

 

                               Mais la puissance de la propagande se joue à un autre niveau, encore plus insidieux ; il s'agit de l'opposition brunes / blondes, activée par les médias pour suggérer d'une maniére biaisée qu'il y a égalité de proportion entre ces deux types féminins. La propagande nous fait croire, en présentant une fausse égalité numérique (La brune ou la blonde ?), que ces deux types jouent dans la même catégorie, et parallélement, insinue que les hommes ont une véritable  possibilité de choix entre les deux.

 

                                  Or, ce rideau de fumée, ce théâtre d'ombre nous abuse ; la réalité, c'est que 99 % des femmes sur cette petite planéte ont les cheveux noirs. L'autre réalité, c'est que la proportion de femmes blondes dans le monde diminue à vue d'oeil. Dommage pour les amateurs de diversité.

 

 

 

 

 

 

 

Les brunes seraient de meilleures épouses
Midilibre.fr
27/03/2013, 08 h 54 | Mis à jour le 27/03/2013, 09 h 05
Sophie Marceau : la perfection faite "brune".
Sophie Marceau : la perfection faite "brune". (GOH CHAI HIN / AFP )

Une étude révèle qu'une majorité d'hommes (54 %) a une préférence pour les brunes pour leur passer la bague. 

Une étude réalisée par Superdrug révèle que les hommes pensent que les brunes sont de meilleures épouses et copines que les blondes. Sur les 1 000 hommes ayant participé au sondage, 54 % choisiraient une brune comme conjointe, tandis que 16 % seulement préféreraient épouser une blonde. Et 30 % d'entre eux n'ont pas de préférence. L'étude n'en fait pas mention des rousses. 

Bonnes dans tous les domaines

Selon The Telegraph, l'étude révèle également que les hommes pensent que les femmes à chevelure foncée sont plus "profondes" et plus "raisonnables" que leurs consœurs blondes. Ces messieurs seraient aussi convaincus que les brunes prennent plus soin de leur apparence, sont d'excellentes cuisinières et meilleures en ce qui concerne les tâches domestiques. Les hommes croiraient enfin que les brunes ont plus d'expérience au lit.

 

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 08:10

 

 

 

                                           "Je ne peux pas survivre quand il n'y a que des blonds aux yeux bleus" Jean Luc Mélenchon

 

 

                  Le sénateur-président continue  ses délires racistes, en vomissant ses névroses à qui veut bien lui tendre un micro. Héritier de la pensée de Pol-Pot, il souhaite recréer l'humanité selon ses préférences raciales.

 

                   Dans son univers fantasmatique, il n'y a pas de place pour les blonds aux yeux bleus; pourquoi cette haine, cette envie de faire disparaître une population somme toute aussi pacifique que les autres ? Quels traumatismes peuvent expliquer cette détestation raciale ? Comment sommes nous arrivés à supporter de tels propos ?

 

 

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 10:12

 

 

                                              Un intéressant article de MELTY Campus du 20/02/2013, qui ouvre un petit coin de ciel bleu dans un monde de brutes.

 


 

 

 

 

 

Blonde : La fin des stéréotypes étudiants
Par Jade (Jadoune972)
il y a 22 jours
7 réactions

Et si c'était la fin des blagues sur les blondes ? Lauren Marbe, une jeune anglaise de 16 ans, vient de stupéfier l'Angleterre en obtenant 161 au test de QI. Elle fait désormais partie des 1% de la population "la plus intelligente"...

Blonde surdouée Einstein

Voilà de quoi redonner le sourire à toutes les blondes lassées d'être la cible d'attaques faciles ! Grâce à Lauren Marbe, les blondes devraient pouvoir redorer leur image. Cette jeune anglaise a surpris tout le monde en obtenant 161 au test de QI réalisé dans son lycée. Un score stupéfiant qui la place avant Bill Gates et même Albert Einstein, qui n'ont obtenu que 160… Interrogée sur les résultats de son test, la jeune fille s'en amuse. "J'aime mes faux ongles et mon faux bronzage." a-t-elle déclaré au Daily Mail. Très consciente des stéréotypes et des préjugés sur les blondes, elle se réjouit de pouvoir les contrer : "Je suis fière de pouvoir montrer aux gens que nous ne sommes pas toutes écervelées et blondes." Lauren Marbe a donc toutes les cartes en main pour se lancer dans de brillantes études. Pourtant, elle ne souhaite pas en faire sa priorité…

 

Blonde surdouée Einstein  

Le test de QI

 

Jusqu'à présent, l'adolescente avouait être souvent jugée sur son look et ne plaisante qu'à moitié lorsqu'elle parle du scepticisme de ses professeurs quant à sa volonté de devenir architecte. "Nous savions qu'elle était intelligente, mais nous ne pensions pas qu'elle l'était à ce point" ont déclaré les professeurs de son lycée. Et bien, maintenant que c'est avéré, Lauren n'hésite pas à affirmer ses ambitions pour l'avenir. Au programme, des études d'architecture à l'université de Cambridge… ou se lancer dans une carrière de comédienne ! Et si après avoir mis fin aux clichés sur les blondes, Lauren Marbe mettait fin aux clichés sur les surdoués ? Pas d'école d'ingénierie ou de médecine en vue, la jeune anglaise qui pourrait pourtant réussir partout n'exclut pas de suivre une voie plus artistique et beaucoup moins académique…

 

 

 

lauren-marbe-une-blonde-qui-fait-taire-les.jpg

 


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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 08:53

                            

 

                                    Nous l'avons déja vu, La dépêche du Midi méne depuis des années une campagne de propagande assez nauséabonde contre les femmes et les hommes blonds.  Ce journal, contrôlé et détenu par Jean-Michel Baylet, jouit d'un monopole de fait sur tout un lectorat du sud-ouest de la France. Les habitants du cru, s'ils veulent connaître les chiens écrasés et les vols de pédalos dans leur région, sont tenus de s'informer dans cet organe de presse unique; ils reçoivent à cette occasion de nombreux messages plus ou moins insidieux servant les lubies et intérêts du propriétaire, qui a hérité de ce monopole et de charges électives diverses et variées , d'une maniére aussi loyale et démocratique que les bourgs pourris de l'Angleterre du XIXéme siécle.

 

                                   Les obsessions raciales de cet organe, au sens de Soljenitsyne, sont donc rendues obligatoires pour les populations du territoire détenu par ce monopole; sur les 44 derniéres livraisons des "Blagues mails" parues dans ce journal   link  , 12 contiennent des insultes raciales contre les personnes blondes, soit 27.27 % du total . On peut mesurer à cette occasion la force de la haine qui anime cet organe pour humilier à ce degré certaines personnes choisies sur des critéres raciaux.

 

                                    Or, chose étonnante, la propre mére de Jean-Michel Baylet, Evelyne Baylet link , arbore fiérement une teinture blonde du plus bel effet.

 


 

 

 

                                     Y-a-il un réglement de compte psychanalytique d'un fils dominé  par une mére juive trop possessive (1),  peut-être castratrice, dans cette obsession pathologique qui le pousse à insulter les  personnes blondes ?


                                   Dans tous les cas, cette volonté de nuire et d'humilier révéle une personnalité profondément blessée. 

 

 

(1) Evelyne Baylet, née Isaac, est d'origine à la fois séfarade et ashkénaze.

 

 

 

 

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 06:43
                     Un article percutant du toujours pétulant Philippe Gouillou, où certaines vérités dérangeantes se font jour.

 

 

 

 

Il est maintenant considéré que les femmes présentent un QI inférieur d'environ 4 points de celui des hommes (voir Douance), les blondes sont les plus féminines des femmes (voir Pourquoi...) : peut-on en déduire que les blondes ont un QI au ras des pâquerettes ?

Si on en croit la sagesse populaire : oui, ça ne fait aucun doute. Sur la Côte, "Blonde" égale "Conne" et les deux mots sont employés indiféremment pour désigner toute personne victime d'une faiblesse intellectuelle, ne serait-elle que passagère, et cela quel que soit son sexe.

Mais dès lors une question se pose : comment dans un pays où l'antiracisme fait rage et où il est tabou de parler d'origine biologique du QI (alors même qu'à l'étranger les débats sont déjà sur la règlementation de l'utilisation des médicaments augmentant le QI) peut-on affirmer aussi clairement une origine capilaire de l'intelligence ?


 

Reprenons depuis le départ.

Tout d'abord, un calcul rapide montre que cette différence supposée d'intelligence ne tient pas la route et ce pour deux raisons. La première est qu'une différence de 4 points de QI ne se remarque pas au niveau individuel (le QI de chacun, homme ou femme, varie beaucoup plus au long d'une journée). La deuxième est que même si un tel effet était observé, les blondes auraient un QI supérieur à celui de la moyenne de la population mondiale. En effet, dans un pays où la moyenne est de 97 (selon les estimations de Lynn), les femmes y auraient un QI moyen de 95 [1], et au pire les blondes seraient aux alentours de 94... pour une moyenne mondiale (hommes et femmes ensembles) de 90. La soit-disant stupidité des blondes ne peut donc pas se fonder sur des observations empiriques : le mythe vient d'ailleurs.

Ensuite, il est possible que la jalousie des brunes y ait une part. "Blondes have more fun" dit le proverbe et les études ont montré qu'il est valide. Les succès sexuels des blondes sont tels que de très nombreuses femmes vont se décolorer les cheveux (encouragées en cela par la mode récente du sexe rasé : le risque d'être confondue s'évanouit). Mais ce n'est pas une explication suffisante : toutes les blondes ne sont pas belles, et pourtant elles sont toutes dénigrées à un niveau atteint par aucune autre caractéristique physique.

Enfin, les blondes présentent une caractéristique importante : elles sont presque toutes d'origine Européenne. Ce n'est pas tout à fait 100% parce que la blondeur est répandue ches les femmes Aborigènes d'Australie (qui ne présentent aucun signe d'origine Européenne). Peter Frost, PhD remarque :

"Most humans have only one hair color and one eye color. Europeans are a big exception: their hair is black but also brown, flaxen, golden, or red; their eyes are brown but also blue, gray, hazel, or green. This diversity reaches a maximum in an area centered on the East Baltic and covering northern and eastern Europe. If we move outward, to the south and east, we see a rapid return to the human norm: hair becomes uniformly black and eyes uniformly brown."

Why Do Europeans Have So Many Hair and Eye Colors? Peter FROST - Université Laval (Canada)

En bref, hormis Down Under, une vraie blonde est une femme d'origine Européenne, une Blanche.

Nous pouvons maintenant revenir à la question d'origine : comment peut-on dénigrer les blondes dans un pays qui pratique l'antiracisme à haut volume ? N'est-il pas à l'opposé des idéaux d'égalité, de dignité, de tolérance que de dénigrer ainsi un groupe en fonction d'une caractéristique physique ? Pourquoi ce silence des féministes et des antiracistes ?

En fait, c'est bien l'antiracisme qui en est à la base, au travers de deux axes qui se renforcent. Tout d'abord, tout groupe souffrant d'une censure trop importante aura besoin de soupapes de sécurité, et pour celles-ci le plus sage est d'utiliser le détournement dans l'expression de ses sentiments réels. Au lien de critiquer un groupe protégé, il suffit de diriger sa critique vers un groupe désigné à la vindicte populaire pour réduire à néant les risques. Or l'antiracisme ne se fonde pas que sur la négation de l'existence des races [2] mais aussi sur l'affirmation que la race blanche est coupable, plus ou moins directement, de toutes les atrocités du monde. Dès lors, quel que soit le groupe que l'on veuille dénigrer, il suffit de détourner la cible sur les Blancs pour que c'en devienne de l'antiracisme. Le deuxième axe est plus simple et plus direct : dénigrer des personnes dont on a la certitude [3] qu'elles sont blanches est être du bon coté de l'antiracisme, c'est répéter la propagande officielle.

En résumé vous pouvez continuer de traiter les blondes de connes : c'est bien sûr faux, mais ça vous met du bon coté politique. En le faisant, vous montrez clairement à tous votre soumission aux diktats officiels, vous vous inscrivez dans le grand mouvement antiraciste qui construit l'avenir de notre continent. En d'autres termes : vous vous protégez. C'est une raison suffisante, n'est-ce pas ? [4]

 

NOTES :

  1. Pour 50% de femmes au sein de la population. Remarque : j'ai lu une fois (mais ai perdu la référence) que cette différence est inversée chez les Afro-Américains (à vérifier).
  2. Sur l'existence ou inexistence des races, voir : Evoweb : Races, racisme et Evopsy du 12 octobre 2004
  3. Quasiment personne en France ne connaît l'existence des Aborigènes blondes, le risque d'être accusé de racisme est donc faible.
  4. Le même procédé peut d'ailleurs être étendu aux hommes blonds : Steve Sailer remarque qu'en plus de la Ben Stein's Law ("in any Hollywood whodunit, the whitest, richest and most respectable character usually turns out to be the bad guy"), au cinéma le méchant est généralement le blond. Voir aussi les compléments de Jim Bowery.

 

©Philippe Gouillou

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 09:12

               

 

                        Un intéressant article du journal "The frisky" , où se montre la puissance des ordures qui ont construit le "stéréotype de la blonde"; ces  parasites sont toujours à l'oeuvre, enkystés dans les médias et déterminés à humilier toujours plus de femmes sur des critéres raciaux.

 

Author Archives:

5 Reasons Being Blonde Is Not Actually More Fun

 

 

 

 

 

 

 

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5 Raisons pour lesquelles être blonde est parfois pénible !

 

Je suis né avec des cheveux blonds lumineux. Mon père est blond, mais les membres de ma mère familiales italiennes étaient si sûrs que leur petit-fils premier-né posséderait les cheveux noirs et la peau olivâtre qu'ils ont accusé les infirmières de se tromper de bébé  quand j'ai fait mes pâles débuts de blonde. Dans mes 20 ans j'ai eu un bref flirt avec l'idée de me teindre en  rouge ( j'ai depuis découvert que c'est  un symptôme courant de la crise des 25 ans), mais à part ça, je n'ai jamais rêvé de virer loin de mes (littéralement ) racines blondes. Au cours du dernier week-end, j'ai  amplifié ma couleur naturelle, et cela m'a fait penser à ce que cela signifie d'être une blonde. La culture pop martèle que les  blondes s'amusent plus. Des millions de femmes ont avidement décoloré les cheveux jusqu'à les oublier, afin, comme le dit Amélie, " de chasser le dragon blonde." Quel enfer, j'ai passé deux heures et 70 dollars pour blondir mes cheveux . Mais contrairement à la croyance populaire, le style de vie d'une séduisante blonde a certainement des inconvénients. En voici cinq qui viennent à l'esprit ...

1. Les gens pensent que vous êtes une idiote. Je n'ai aucune idée de quand ou comment les cheveux blonds sont devenus associés à une intelligence inférieure, mais je peux vous assurer que ce mythe étrange est bel et bien vivant. Il se présente sous la forme de regards compatissants, les commentaires méprisants comme, "Ouais, c'est vraiment une blonde!", Et d'aide  offerte alors que je n'en ai pas besoin et que je ne l'ai pas  demandée. Je ne veux pas dire que  les blondes sont systématiquement opprimées ou quoi que ce soit de ressemblant, mais traiter avec l'idée préconçue que je suis stupide parce que je suis blonde est une perte de temps ennuyeuse que je préfère consacrer à la lecture de la physique théorique.

2. Vous devez écouter les blagues sur les blondes. Voici ce que je ne peux que supposer être le processus de pensée qui se produit dans ces moments avant que quelqu'un me dise fièrement une blague pas drôle  et cruellement " blonde" : "Oh! Cette femme a les cheveux jaunâtre! Sûrement,  elle aimerait entendre parler d'une autre femme avec des cheveux de même couleur qui baise tous les trois pieds d'un tabouret de bar à l'envers avant de réaliser que ce n'était pas un sex toy! "

Combien de blondes faudrat-il humilier  avant  de vous convaincre d'arrêter de dire des "blagues blondes"? Je n'ai pas de chute pour cette histoire là. J'ai vraiment envie de savoir.

3. Vos cheveux deviennent vert avec le chlore. Quand j'étais au premier cycle du secondaire,les parents de mon meilleur ami construisirent une piscine. Pour les cinq prochaines années, j'ai passé environ 70% de mes heures de veille dans cette piscine, et tous les étés, les vagues dorées et étincelantes de mes cheveux devinrent  un terne, fade frisottis jaune verdâtre. Cela valait-il la peine? Oui. Était-ce attractif? Non.  Ai-je secrètement aimé ça  parce qu'il m'a fait sentir comme Anne de Green Gables? Certainement.

4. La perte de cheveux, mon Dieu ! C'est un fait que les gens avec des cheveux légèrement pigmentés ont plus de poils sur la tête que les personnes ayant les cheveux plus foncés. Est-ce que cela veut dire que les blondes en perdent plus que les autres? Basé sur la recherche horrible que j'ai effectuée en essayant de débrancher le tuyau de la baignoire, je vais dire oui. Mon copain sait toujours où me trouver, grâce à la piste de cheveux du style Hansel et Gretel  que je laisse dans la maison, et souvent il regarde ma crinière volumineuse avec 'incrédulité. " Tu dois littéralement perdre et  régénérer tous tes cheveux chaque jour», dit-il, avant de menacer d'informer le gouvernement que je suis une mutante.

5. Vous attirez un certain type d'attention. Je n'ai jamais été une non-blonde (comme le terme s'applique à la fois la couleur des cheveux et à des groupes de rock des années 90), mais des amies qui sont passées de brune à blonde,  de brune à rouge et vice-versa me disent que les cheveux blonds attirent un  genre d'attention particulier, surtout des hommes. Les blondes sont censés être soit pures, vierges angéliques ou bien de sombres nymphomanes en train de baver . Vous pouvez imaginer à quel point certains hommes peuvent interagir avec ces stéréotypes, comment ils attendent que vous réagissiez en retour, et comment ils peuvent devenir très désagréables. Mais bon, que sais-je? Je suis juste une blonde idiote. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, il ya un tabouret de bar renversé dans le coin qui est vraiment en train de m'appeler.

 

 

 

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