Les lecteurs de ce blog savent à quel point la propagande à l'encontre des personnes blondes est massive, subtile et persuasive.
En voici un autre exemple, avec un certain Benoît Berthelot qui utilise en Mars 2016 une poupée pour lancer une attaque raciale supplémentaire contre certaines femmes, choisies sur des critères raciaux.
C'est ainsi que cet individu estime que la blondeur, c'est "pâlichon"; or ce terme, visant une caractéristique physique est essentiellement dépréciatif; le journaliste utilise cet adjectif désuet entouré de couleurs flashy, le tout dans le contexte d'une analyse économique sérieuse et documentée, pour mieux faire passer une insulte raciale. Nous retrouvons donc également "l'argument d'autorité" , utilisé ici pour crédibiliser l'ensemble du discours.
De même, l'accusation de "stéréotypée" portée contre la blondeur, qui là aussi induit un contexte dépréciatif contre une caractéristique physique. Notons que ces accusations visent exclusivement la blondeur. Les journalistes à l'échine souple et aux mâchoires puissantes savent bien QUI ils peuvent attaquer et QUI leur est interdit.
A relever également, la "piqûre" de rappel sur le caractère maléfique de la blondeur (Sur le sujet cf. Blonde et maléfique et Blonde et maléfique 2). La seule présence de la blondeur empêche de "reconquérir le coeur des petites filles" et de "confirmer un début de redressement des comptes" . Décidément, ces blondasses sont de vraies porte-poisse, des porte-malheur à éviter.