Le texte ci-desous semble écrit sous l'influence de psychotropes relativement puissants. Il a au moins le mérite d'éclairer singuliérement la psyché d'un archétype de "journaliste d'extréme gauche", Véronique Hurtado.
Elle y développe une thése racialiste selon laquelle les blonds seraient une partie inférieure de l'humanité; cette thèse a déjà été analysée dans un article précédent, intitulé Antiracisme = Anti-blond ? . Afin de diminuer le caractére choquant de telles affirmations et de mieux assurer son rôle de propagandiste , la journaliste utilise des mots à double sens, des demi-plaisanteries, des aperçus loufoques, des lieux communs ironiquement mis à l'envers pour ridiculiser ce qu'elle croit être la pensée de ses opposants, les "français de souche qu'en tiennent une couche".
Véronique Hurtado réveille en fait un trés vieux débat, une surprise qui dure depuis l'antiquité jusqu'à nos jours : La surprise des voyageurs, historiens ou chroniqueurs venant du monde méditerranéen devant l'attachement des populations de la Gaule à la blondeur, qui mettait entre eux et les gaulois comme une barrière invisible et inexplicable.
Contre cette "croyance", la journaliste mélenchonienne pose , évidemment sur le mode de la dérision, une question essentielle : Existe-t-il un blond qui "aurait fait quelque chose pour l'humanité ?"
Or, le panthéon intime d'une journaliste d'extréme gauche ne contient pas de blonds.; ceux-ci sont donc inutiles, l'attachement qu'on pourrait avoir pour eux en tant que tels est irrationnel, ils peuvent tout à fait disparaître dans le néant et d'aileurs ils empêchent la grande fraternisation de l'humanité qui sera comme une supernova de l'amour qui nous fera enfin rentrer dans une nouvelle ére.
On voit ici qu'au point de vue croyance irrationnelle, la journaliste de gauche en tient quand même une sacrée couche, et que comme d'habitude, elle accepte toutes les victimes possibles d'un tel processus . N'oublions pas que la formation intellectuelle de Pol-Pot (+/- 3.000.000 d'assassinats politiques !) s'est déroulée en France, dans les milieux de la gauche extréme qui a "produit" également Véronique Hurtado.
Pour en finir et pour répondre à cette question essentielle de l'article, et au delà de la pauvreté intellectuelle des références de cette journaliste, il convient de rappeler que l'Histoire humaine remonte à l'invention de l'écriture, soit moins de 6.000 ans mais que les premiers représentants du genre Homo seraient apparus il y a environ 2,4 Ma. Les apports respectifs des différentes populations nous seront donc à jamais inconnus et nous devons garder une très grande modestie avant de nous livrer au fanatisme idéologique qui prétend réinventer l'humanité.
En conclusion, il apparaît légitime de s'interroger : Véronique Hurtado est-elle raciste ? Ou est-elle simplement conditionnée ad nauseam pour tenir des propos aussi abjects ?
Khrishna, le noir, Christ, le très brun, et ?... J'ai comme un "blanc".
Pour le "blanc",
vous me direz :
- Et Mahomet ?
Je vous répondrais :
- Ah, parce qu'un Arabe est de race blanche ?
En connerie convenue et langage raciste, c'est cocasse de croire que les Blancs sont des "Caucasiens".
C'est un argumentaire du genre : "Cause toujours ! Ta cause est perdue d'avance'".
Sachez en effet qu'il y a des Arabes qui ont la peau plus blanche et les yeux plus clairs que certains Français et qu'on peut être Berbères, sans être Sémites, ni Bêtes. Pas comme les Français de "souche" ! Qui en tiennent une "couche" de ... co... rie. Non, veuillez lire "cochonnerie" bien sûr.
Vous me direz :
- Et Bouddha ?
Je vous répondrais :
- Ah, parce qu'un Indien est de race blanche ?
Faudrait peut-être vous réveiller, les "Franchouillards" ! Ou suivre "l'Eveillé". J'ai toujours un "blanc". Un blanc comme un type de race qui manque dans la lignée des fondateurs spirituels de l'Humanité.
Vous me direz :
- Et Abraham ?
Je vous répondrais :
- Ah, parce qu'un Sémite est de race blanche ?
Le père des Sémites, le père de Jésus-Christ et de Mahomet... Si, si !
J'ai jamais compris d'ailleurs pourquoi ceux qui mangent "casher" se tapent sur la gueule avec ceux qui mangent "halal", à la, à la... poêle ou au four, ici ou ailleurs ? Si c'est pas cher ? Dans les deux cas, c'est pas clair, c't'affaire. Frères ennemis, frères toujours.
Pour mettre tout le monde d'accord, on n'égorge plus au XXIème siècle des animaux, comme dans les premiers temps de l'homme préhistorique. Je n'en démords pas. On ne mord pas la chair d'un animal qui a souffert longuement et dont le sang s'écoule, seconde par seconde, des secondes qui durent une éternité, sans être affecté(e) dans sa propre chair par cette mort cruelle. Nous sommes tous des animaux, plus ou moins évolués. Si le remords ne met pas son coeur à nu, l'homme qui torture un animal n'est qu'un animal, un corps voué lui aussi à la mort, une mort de bête.
Donc, où en étais-je ? Ah oui, j'ai un "blanc".
Plutôt, je n'ai pas de "blanc".
Vous me direz :
- Et le Dalaï Lama ?
Je vous répondrais :
- Ah, parce qu'un Tibétain est de race blanche ?
Il vous restera Socrate, le Grec athénien, le "philosophe" que rien n'atteignait. Sa laideur ferait peur, mais ne permet pas d'oublier son appartenance à la race des beaux "bruns" méditerranéens, ces hommes à la peau rarement blanche, aux cheveux plutôt noirs et aux yeux assez foncés.
Et ainsi de suite...
Juste pour vous confirmer que j'ai encore et toujours un "blanc".
Je le remplace par qui ?
Parce qu'il faut bien prouver la supériorité de la race blanche, non, les Français de "souche" qu'en tiennent une "couche" ?
- "Allo, allo, y'a person' qui répond ?"
Ah, là, une main qui se lève :
- Sigmund FREUD ?
- Un Juif, un Sémite, Monsieur.
Ah, là, un doigt qui s'élève d'une main fermée :
- Albert EINSTEIN ?
- Un Juif, encore un Sémite, mon bon Monsieur.
Allez, je vais vous aider, c'est bien parce que j'ai pitié.
Je vais passer une annonce à la fin de mon article :
- "Cherche un grand blond à la chaussure noire et aux yeux bleus qui aurait fait quelque chose pour l'humanité ?"