Trouvé sur le site du CRIJF (Conseil Representatif des Institutions Juives de France) une "étude" particuliérement malhonnête et orientée intitulée "Vers une internationale blonde", le tout pondu par une certaine Quinchon-Caudal Anne et préfacé par un certain Taguieff. http://www.crif.org/sites/default/fichiers/images/documents/Etudes%20du%20Crif%2036_0.pdf
"L'étude" commence ainsi : "
Il convient de lire plusieurs fois cette brillante introduction pour bien voir l'état de confusion mentale de l'auteur ; on peut la résumer ainsi :
Représentation graphique du racisme = Tracer un trait bien épais sur les frontiéres.
(??!!)
La deuxiéme page de l'étude inaugure un procédé que l'on retrouvera tout au long du document, c'est à dire l'amalgame et la perversion du sens par glissement sémantique ou contextuel. C'est ainsi que :
On voit ici que "les germains" deviennent tout à coup "l'homme blond" ; cette manipulation des textes s'appuie sur l'argument d'autorité (Voyez donc mes titre universitaires !) et sur l'utilisation d'un ignoble charabia pseudo-scientifique ; (cf. le verbe fictionner .... Quel genre d'individu peut utiliser de tel jargon aussi puant, mal-formé et prétentieux ?)
On sait bien que blond n'est pas synonyme de germain, que de nombreux slaves sont blonds, que des mélanésiens le sont tout autant et que de nombreux "germains" ne sont pas blonds. L'auteur se livre ici à un tour de bonneteau pour mieux arriver aux conclusions qu'elle souhaite voir adopter par ses lecteurs, c'est à dire la stigmatisation d'une caractéristique physique et d'un minuscule groupe humain, en assimilant blondeur et "nordicisme" comme causes et précurseurs du nazisme.
On ne poursuivra pas plus avant l'analyse des procédés d'une profonde malhonnêteté intellectuelle utilisés tout au long de "l'étude".
Anne Caudal-Quinchon développe donc une vision raciste et racialiste de l'Histoire, où elle discrimine systématiquement une minuscule minorité humaine , les personnes blondes, en les réduisant à un équivalent , un signe du nazisme et/ou du supprémacisme blanc. Quoi qu'ils soient, quoi qu'ils pensent, quoi qu'ils fassent, ils sont renvoyés à leur condition de "blonds"... La pensée raciste est ici théorisée, justifiée, encouragée. La punition collective de toute une population est revendiquée.
C'est ainsi que comme le sinistre Parti de gauche, cf. http://semeiologia.over-blog.fr/article-le-front-de-gauche-est-il-raciste-107119834.html ou bien http://semeiologia.over-blog.fr/article-antiracisme-anti-blond-114715968.html , elle ira jusqu'à reprocher à un parti politique allemand d'utiliser la photographie d'une enfant parce que blonde. Comment ne pas voir dans cette exécration publique la volonté de supprimer symboliquement toute lignée, et jusqu'aux enfants, de la "race ennemie" ?
Une fois débarrassé de ses oripeaux scientifiques, ce texte révéle sa véritable nature, c'est à dire un texte de persécution; les procédés et les accusations de ce type de littérature sont les mêmes depuis des siècles . Il jette l'opprobre contre un groupe racial minoritaire :
- dans une société en proie à de violentes tensions
- différent par essence de la majorité
- aisément identifiable par son apparence
- ontologiquement coupable d'atrocités inouïes et indicibles
- dont le seul contact ou la simple vue (Même une simple
photographie) peut provoquer des catastrophes
Ces ennemis du genre humain doivent être mis au ban de la société , le bien commun réclame leur disparition... "L'homme blond " fantasmé par Anne Quinchon-Caudal a (presque) tous les attributs du φαρμακός décrit par René Girard dans sa théorie du bouc émissaire. cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pharmakos. et https://repositorium.sdum.uminho.pt/bitstream/1822/12435/3/girard.pdf
Nous sommes bien en présence ici d'un racisme fanatique, agressif et vicieux qui ne dit pas son nom et qui avance masqué.
Anne Quinchon-Caudal
"Quinchon-Caudal, tu es très brune et très pédante; est-ce une raison pour faire du racisme anti-blond ? " Josie, membre du comité de lecture
Le coin de la lectrice :
"Eh, l'internationale des brunes ! Tu peux nous lâcher un peu ? Ce serai vraiment gé-ni-al !" Dorothée, 28 ans, attachée de presse dans le Calvados, elle aime la randonnée et le Livarot.